Le vent hurlait via les hautes lens de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditeur de devoir, un moine s’éclairait à la éclaircissement vacillante d’une chandelle. La fric était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://laneolifa.wssblogs.com/33777735/l-encre-du-destin