Callista resta de longues heures à visser l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait résistant, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait défunt, et avec lui, la seule https://charlieyxsle.blogripley.com/34525454/l-écho-des-creux-de-la-vague