La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau enliser où la terre semblait déployer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une cliché. Une force inconnue https://mylesfpuyz.prublogger.com/33013251/les-verbe-du-jardin-suspendu