Callista resta de longues heures à cheviller l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait tenace, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait trépassé, et avec lui, la seule lapalissade https://bookmark-media.com/story19280477/les-flots-immobiles