Dans l’enceinte subtilement hermétique du centre d’appels, les vendeurs continuaient à répondre aux sollicitations sans noms, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre absence impénétrable et misère diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels via une interface adaptative, ajustée à son profil psychologique. Aucun contact visuel, https://edwinkruvv.iyublog.com/33107148/le-centre-d-appels-des-disparus