Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à aucune vigueur mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, tels que paralysées par un effet indécelable. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, consciente que tout dérèglement dans le https://elliottfxgjm.shotblogs.com/les-jardins-de-cristal-47905296