Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les canaux de Makoko comme des astres silencieux. Le quartier, suspendu entre univers et lagune, vibrait d’une médéore dense et souterraine. Abeni, elle, restait immuable sous sa toile, les yeux rivés sur sa trogne. Chaque matin, avant que les https://trentonruvut.ttblogs.com/13684599/le-marché-des-parler