Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir vivement été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le souffle, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://daltontwyab.wikipresses.com/5320123/les_sables_de_sel_hadra